16 ianuarie 2021

Studenții de la USAMV Iași vor beneficia de o bază modernă pentru practică, în zona montană din județul Suceava

Baza de practică de la Plaiul Șarului, din județul Suceava, este modernizată. Aceasta aparține Universității de Științe Agricole și Medicină Veterinară „Ion Ionescu de la Brad” din Iași. Astfel, studenții de la Montanologie – specializare din cadrul Facultății de Agricultură vor avea la dispoziție una dintre cele mai moderne baze de practică din zona montană. Aceasta deoarece Universitatea de Agronomie investește aproximativ 7 miliarde de lei în reabilitare

Studenții de la Montanologie – specializare din cadrul Facultății de Agricultură a Universității de Științe Agricole și Medicină Veterinară (USAMV) „Ion Ionescu de la Brad” din Iași vor avea la dispoziție una dintre cele mai moderne baze de practică din zona montană. Aceasta deoarece USAMV Iași investește aproximativ 7 miliarde de lei în reabilitarea bazei de practică de la Plaiul Șarului, din județul Suceava.

„Deoarece specializarea Montanologie are ca misiune formarea de ingineri în domeniul Științelor agronomice, capabili să își desfășoare activitatea în zona colinară și montană, iar studenții trebuie formați și cu ajutorul tehnicilor, echipamentelor și tehnologiilor adecvate pentru a pune în valoare potențialul natural și uman deosebit de valoros al zonei montane, este foarte important ca facultatea să asigure cele mai bune condiții pentru formarea viitorilor specialiști”, a declarat conf. univ. dr. Denis Țopa, decanul Facultății de Agricultură din cadrul USAMV Iași.

La baza de practică de la Plaiul Șarului, din Suceava, vor avea acces și studenții USAMV Iași de la specializări precum Ingineria și managementul afacerilor agricole și Inginerie și management în alimentația publică și agroturism

Pe lângă studenții de la Montanologie, la baza de practică de la Plaiul Șarului, din Suceava, vor avea acces și studenții USAMV Iași de la specializări precum Ingineria și managementul afacerilor agricole și Inginerie și management în alimentația publică și agroturism. USAMV Iași desfășoară activități de practică pentru studenți la baza de la Plaiul Șarului de peste zece ani, iar procesul de renovare a demarat în 2019. Pe lângă spațiile de cazare moderne, studenții vor avea la dispoziție o cantină, spații de seminar, bibliotecă, un spațiu de conferințe sau întâlniri și un teren de sport nou, multidisciplinar. Fondurile necesare modernizării de la Plaiul Șarului au venit atât din surse guvernamentale, cât și din veniturile proprii ale Universității de Agronomie din Iași.

Universitatea de Agronomie va deschide și un Centru pentru valorificarea microproducției agricole și veterinare, respectiv de produse tradiționale

De completat că, la Universitatea de Agronomie se va deschide și un Centru pentru valorificarea microproducției agricole și veterinare, respectiv de produse tradiționale. Astfel, de la magazinul alimentar cu produse proprii vor putea fi achiziționate diverse alimente ce provin din fermele Universității, din atelierele de micro-producție. În urma activităților desfășurate în fermele și atelierele de micro-producție ale facultăților de Agricultură, Horticultură, Zootehnie și Medicina Veterinară, studenții și cadrele didactice obțin diverse produse, cum ar fi preparate din carne, lactate, produse de panificație, legume, fructe, vin, dar și răsaduri, puieți sau viță-de-vie. Toate aceste produse tradiționale „made by USAMV Iași” vor fi comercializate la acest magazin alimentar care va fi deschis chiar în campusul Universității de Agronomie Iași, din Dealul Copoului.

Publicație : Bună Ziua Iași

Après les annonces de Castex, les syndicats étudiants déplorent des mesures «insuffisantes»

Décrochage, isolement… Le mal-être des étudiants inquiète les syndicats qui considèrent l’ouverture progressive des facs insuffisante.

Le mal-être des étudiants continue d’alerter les spécialistes et acteurs du monde estudiantin. Hier, le premier ministre, Jean Castex, a annoncé une reprise en demi-groupe des travaux dirigés en première année à partir du 25 janvier.

«Ça va dans le bon sens, reconnaît Jacques Smith. Mais c’est insuffisant. Les deuxième et troisième année ainsi que les M1 et M2, qui forment une grosse partie de la communauté étudiante, sont les grands oubliés.» Selon le délégué national du syndicat de l’UNI, cette avancée «n’est pas au niveau des semaines qu’on vient de vivre». Il y a cinq jours, un étudiant s’est défenestré à Lyon. Il y a deux jours, une étudiante de la même université a fait une tentative de suicide. Si les motifs de leur geste restent à déterminer, ces événements traduisent une grande détresse étudiante.

«Le compte n’y est pas»

Difficultés financières, isolement, décrochage… Les obstacles s’accumulent. «Le compte n’y est pas, nous sommes loin des attentes des étudiants», se désole Mélanie Luce, présidente de l’Unef, après avoir assisté à une réunion avec la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal et le premier ministre ce matin.

«Pourquoi certains jeunes se suicident? Parce qu’ils décrochent, perdent confiance, n’ont pas assez d’argent et ne peuvent plus se nourrir. Les situations déjà compliquées des plus fragiles s’aggravent.» Paul Mayaux, président de la Fage, renchérit: «Nous sommes déçus de ne pas avoir eu l’annonce d’aide d’urgence immédiate alors que la précarité est très forte.»

Les aides financières nécessaires mais insuffisantes

Il y a six mois, Jean Castex annonçait le repas universitaire à 1 euro pour tous les boursiers. «Trois millions de ces repas ont été délivrés à 250 000 étudiants boursiers», rapporte Paul Mayaux. «C’était une des meilleures mesures.» Selon Jacques Smith, elle est aussi «injuste». «Elle ne touche ni les étudiants de la classe moyenne qui ne sont pas boursiers, ni les boursiers et non-boursiers qui ne sont pas dans des centres universitaires et qui ne sont pas près d’un service du Crous.»

Une aide de 150 euros mensuels a également été mise en place pour les étudiants boursiers. «Ce critère boursier est discriminant», rétorque Paul Mayaux. «Il y a des nouveaux pauvres chez les jeunes qui sont les CSP moyenne basse et qui ne sont pas boursiers.» Les mêmes, explique-t-il, qui ont perdu leurs jobs au moment de la crise sanitaire. «Ceux qui sont non-boursiers et qui avaient un job à côté pour payer le loyer de leur studio, n’ont plus rien», souffle Jacques Smith qui se réjouit tout de même de la création d’emplois de tutorat pour les étudiants. Quelque 20 000 postes avaient été annoncés. «La CPU a confirmé que 10 000 postes ont déjà été mis en place. Ça a très bien marché.»

Une jeunesse à bout de souffle

Cette interrogation revient: pourquoi les universités ne sont pas autorisées à accueillir davantage d’élèves? «On peut entendre qu’il y a une crise sanitaire et que cela nécessite de prendre certaines mesures», avance Paul Mayaux. «En revanche, qu’on ait autant de dissonances entre le secondaire et l’enseignement supérieur, c’est quelque chose que je n’explique pas et que je déplore.» Il en va de même, argue le président de la Fage, pour la question des repas. «Comment peut-on faire davantage confiance à des enfants de douze ans qu’à des jeunes adultes pour se responsabiliser?»

«On observe le décrochage, la détresse et le désenchantement de toute une jeunesse à bout de souffle qui n’en peut plus d’être derrière un écran d’ordinateur, qui n’a plus de lien social, qui n’arrive pas à concevoir leur avenir professionnel», s’inquiète Jacques Smith.

Publicație : Le Figaro

Chez les étudiants, le drame de la mauvaise connexion à Internet

De nombreux étudiants ne disposent pas d’un ordinateur personnel ou d’une connexion fiable : autant d’éléments qui mettent en péril leur réussite, à l’heure des cours en ligne. Diverses aides ont été déployées.

Pour Tarik Boumaza, en master d’informatique à l’université Lyon-I, ne pas disposer d’une bonne connexion Internet pourrait presque relever du comble, mais c’est une réalité éprouvante au quotidien. « Quand la visioconférence s’interrompt toutes les dix minutes et que je dois constamment me reconnecter, c’est compliqué de me concentrer, confie-t-il. Je dois autant veiller à ne pas ouvrir trop d’onglets qu’à écouter le prof. »

Cet étudiant algérien de 21 ans se considère pourtant chanceux. Son oncle lui paie un forfait téléphonique 4G illimité, depuis qu’il a posé ses valises à Lyon. Ce n’est cependant pas suffisant pour suivre les cours dans des conditions optimales, depuis leur passage en distanciel. Et Tarik Boumaza ne peut se permettre de souscrire à une box Internet. « Ce serait une dizaine d’euros en moins sur mon budget alimentaire », précise celui qui a déjà dû faire une croix sur son job étudiant depuis le dernier confinement.

Depuis le début de la crise sanitaire, le basculement des cours en ligne a mis en lumière une réalité jusqu’ici moins visible : l’inégalité des étudiants en matière d’équipement informatique et de connexion à Internet. Jusqu’à présent, les étudiants qui ne pouvaient pas investir dans du matériel informatique qui ne disposaient pas d’une connexion wifi trouvaient refuge dans les bibliothèques universitaires. Aujourd’hui, leur accès est très limité.

Pas de matériel adéquat

Selon une enquête menée cet été par l’Observatoire de la vie étudiante auprès de 6 000 jeunes, 8 % des interrogés n’avaient pas d’ordinateur ou de tablette « à usage personnel » (la plupart, toutefois, avaient accès à un ordinateur partagé avec d’autres personnes). En outre, seulement 64 % des sondés avaient indiqué disposer, pendant le premier confinement, d’une « bonne connexion » à Internet.

Une autre enquête, réalisée par l’association des vice-présidents numériques de l’enseignement supérieur en juin 2020 auprès de 43 établissements, estime de son côté à 1,5 % la part d’étudiants ne disposant pas d’un ordinateur – soit 30 000 jeunes sur deux millions d’étudiants.

Des chiffres qui peuvent être largement supérieurs dans certains territoires. A l’université de Picardie-Jules Verne, 14 % des étudiants en licence de sciences de l’éducation ne disposent pas d’une connexion permanente à Internet, constate Mickaël Le Mentec, maître de conférences de sciences de l’éducation. La Picardie reste un territoire rural où la couverture Internet n’est pas optimale, et son université accueille de nombreux jeunes défavorisés socialement : « Le cumul de ces facteurs peut être vraiment handicapant pour la scolarité des étudiants », déplore-t-il.

Publicație : Le Monde

A Paris, distribution de colis « pour remonter le moral des jeunes »

L’initiative du Beurre dans leurs épinards propose des paniers alimentaires pour les étudiants précarisés, mais aussi des produits « plaisirs », pour dédramatiser le recours à cette aide.

Dans un sous-sol parisien, une quinzaine de bénévoles en tee-shirt violet au nom de l’initiative « Du beurre dans leurs épinards » s’activent à constituer plus de 1 500 cartons alimentaires en trois jours. C’est le défi que s’est lancé Student Pop, plate-forme qui propose des missions à destination des étudiants, en partenariat avec JobTeaser, Article 1 et le journal L’Etudiant.

« Au printemps dernier, la pandémie a mis un terme à la plupart des missions que nous proposions : dans l’événementiel, la restauration, la distribution de flyers », témoigne Ouriel Darmon, cofondateur de Student Pop, qui a vu affluer les témoignages de jeunes fragilisés par la perte de ce complément de revenu, dont la moyenne sur la plate-forme s’élevait à 350 euros mensuels. « Alors nous avons décidé de lancer cette initiative. »

Ce fut d’abord des plateaux-repas, puis une première campagne de 11 000 kg de colis alimentaires, et cette seconde de 7 500 kg. « Au vu de la situation, c’est une goutte d’eau », mais qui peut faire la différence pour les 1 500 heureux élus identifiés par des bénévoles dans des résidences universitaires. « On est très loin de répondre à toute la demande, constate une organisatrice. Mais beaucoup d’autres associations s’activent aussi. » Selon le dernier rapport de l’Observatoire des inégalités publié en novembre 2020, près de la moitié des 5 millions de pauvres a moins de 30 ans. Et la crise du Covid-19 a renforcé la précarité étudiante.

« Des colis du kif »

Dans chaque carton de 5 kg, on retrouve l’essentiel : pâtes, semoule, thon, sauces ; mais aussi des plaisirs « coupables » : boissons énergétiques, barres chocolatées, chips ; et enfin des produits d’hygiène et de beauté : kit de blanchiment des dents, box surprise, dentifrice pailleté. Ces petits à côté sont réunis dans un « tote bag » au nom de l’association. « C’est un peu des colis du kif », nous confie, enthousiaste, Laure Guéguen, chef de produit chez Student Pop, qui s’est occupée du démarchage des partenaires. « C’est aussi là pour faire plaisir, pour remonter le moral de ces jeunes » qui, bien souvent, est au plus bas lorsque se conjugue précarité, couvre-feu et cours en distanciel depuis une chambre d’étudiant.

C’est ce qui motive Elsa (son prénom a été modifié), 17 ans, élève en terminale, qui a pu venir, n’ayant plus cours qu’un jour sur deux en raison de la pandémie de Covid-19 : « C’est une période compliquée pour les étudiants, c’est important de les aider, mais aussi de les réconforter et de leur apporter du soutien moral. » « Ça n’est pas évident de demander de l’aide quand on vient de se lancer dans la vie, qu’on veut son indépendance. C’est aussi pour désamorcer ça qu’on essaie de faire des colis glamours que tout le monde voudrait recevoir », explique Ouriel Darmon.

Publicație : Le Monde

Universités : dirigeants et étudiants déçus par l’absence de calendrier pour une réouverture

Le premier ministre, Jean Castex, s’oppose au retour en jauge réduite de l’ensemble des étudiants. Les présidents d’université réclament une plus grande confiance et de la souplesse pour « sauver le second semestre ».

Aucune échéance n’a été annoncée ni même suggérée pour une reprise partielle en présentiel de l’ensemble des étudiants, lors de la rencontre de deux heures organisée par Jean Castex et Frédérique Vidal avec la communauté universitaire, vendredi 15 janvier. La veille, le premier ministre et la ministre de l’enseignement supérieur avaient annoncé que seuls les étudiants de première année seraient autorisés à revenir suivre leurs travaux dirigés (TD) en demi-jauge, à compter de lundi 25 janvier.

Les représentants des conférences d’établissements et des organisations étudiantes affichent tous leur déception, au sortir de cette réunion durant laquelle ils ont unanimement plaidé, en vain, pour un retour partiel de l’ensemble des niveaux de formation. La conférence des présidents d’université a notamment fait valoir que « pour sauver le deuxième semestre, il faut absolument que tous les étudiants puissent revenir dès maintenant car si c’est en avril, ce sera trop tard », rapporte son vice-président, Guillaume Gellé, qui regrette « une avancée à tout petits pas ».

« Jean Castex s’est dit conscient de la situation des étudiants, mais il n’a pas fait un pas de plus, regrette à son tour Christian Robledo, président de l’Alliance des universités de recherche et de formation. Il a estimé que la situation sanitaire ne le permet pas et que la réouverture aux premières années était déjà un pas important. »

« Si la jauge était fixée à 20 % ou 25 %, cela correspondrait à un retour un jour par semaine, soit les préconisations qui sont à l’œuvre pour le télétravail », observe Guillaume Gellé, rappelant que le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avait lui-même formulé cette hypothèse auprès du gouvernement « afin que les conséquences de cette crise ne deviennent pas encore plus graves que la maladie elle-même »« On pourrait imaginer que les étudiants reviennent quarante-cinq minutes tous les deux jours pour refaire un lien social qui n’existe plus du tout et pour qu’ils ne soient plus cloîtrés dans leur 9 m² », suggère également Jacques Smith, délégué national du syndicat UNI.

« Besoin d’un horizon »

Concernant les étudiants de première année, l’interprétation de la demi-jauge devrait se faire en fonction des capacités d’accueil, et sera donc à géométrie variable sur le territoire selon les bâtiments universitaires. A Reims, Guillaume Gellé se prépare à recevoir les groupes de TD dans leur entier au sein de salles destinées à accueillir deux fois plus de personnes. « Nous n’avons pas discuté de ce genre de détails avec le premier ministre, car ceci relève de l’autonomie des établissements », assure-t-il, résolu à ne pas limiter les effectifs à 50 %.

Publicație : Le Monde

 

 18 ianuarie 2021

Universitatea „Cuza” din Iași lansează o nouă licitație! Miza este o investiție de peste 14 milioane de lei din fonduri europene, în modernizarea unei celebre clădiri din Copou (EXCLUSIV)

Universitatea „Alexandru Ioan Cuza” din Iași lansează o nouă licitație! Totul este legat de o investiție de peste 14 milioane de lei din fonduri europene. Pe 14 ianuarie 2021, instituția a lansat licitația pentru realizarea unui audit extern (prestare servicii financiare) al investiției „Consolidarea și refuncționalizarea clădirii Corpului O al Universității «Alexandru Ioan Cuza» din Iași”. Valoarea estimată a achiziției este de 35.700 de lei cu TVA

Universitatea „Alexandru Ioan Cuza” (UAIC) din Iași lansează o nouă licitație! Valoarea estimată a achiziției este de 35.700 lei cu TVA. Pe 14 ianuarie 2021, instituția a lansat licitația pentru realizarea unui audit extern (prestare servicii financiare) al investiției „Consolidarea și refuncționalizarea clădirii Corpului O al Universității. Totul este legat de o investiție de peste 14 milioane lei din fonduri europene, anume de „Consolidarea și refuncționalizarea clădirii Corpului O al Universității «Alexandru Ioan Cuza» din Iași”.

Investiție de 14 milioane de lei din fonduri europene pentru a realiza o bibliotecă modernă în Iași

Investiția de 14 milioane de lei din fonduri europene este pentru a realiza o bibliotecă modernă în Iași! Universitatea „Cuza” implementează proiectul de reabilitare a Corpului O, prin Programul Operațional Regional (POR) 2014-2020, apel „Creșterea relevanței învățământului terțiar universitar în relație cu piața forței de muncă și sectoarele economice competitive”.

„Am semnat contractul legat de Corpul O, unde vom construi o bibliotecă și o arhivă care să valorifice fondul de carte al instituției din toată România. Întreaga comunitate academică a universității noastre va avea la dispoziție o spectaculoasă și modernă clădire dedicată studiului. Reușim astfel să readucem la viață o altă clădire din patrimoniu a noastră, lăsată în paragină de ani buni”, a transmis prof. univ. dr. Tudorel Toader, rectorul de la Universitatea „Cuza”.

Modernizarea totală a unei celebre clădiri cu destinația bibliotecă modernă, dintr-o zonă specială a Iașului, făcută de Universitatea „Alexandru Ioan Cuza”

Așadar, Universitatea „Alexandru Ioan Cuza” a câștigat finanțarea de peste 14 milioane de lei prin Programul Operațional Regional 2014-2020.

„E o bucurie pentru comunitatea noastră academică obținerea finanțării pentru reabilitarea Corpului O, întrucât reușim astfel să readucem la viață o altă clădire din patrimoniul universității. Astfel, și această investiție este inclusă în programul nostru amplu de investiție în infrastructură și clădiri ale noastre la care se adaugă și Casa Universitarilor, Corpul E, Observatorul Astronomic sau Stațiunile de Cercetare pe care le avem în toată România”, a completat prof. univ. dr. Tudorel Toader, rector al Universității
„Cuza” din Iași.

Creșterea atractivității ofertei educaționale a Universității „Alexandru Ioan Cuza” din Iași în relație cu piața forței de muncă și sectoarele economice competitive

Scopul proiectului Universității „Cuza” constă în creșterea atractivității ofertei educaționale a instituției de învățământ superior din Iași în relație cu piața forței de muncă și sectoarele economice competitive. Asta prin îmbunătățirea infrastructurii educaționale ca rezultat al consolidării și refuncționalizării clădirii Corpului O, până la 31 decembrie 2023, pentru a crea o bibliotecă și o arhivă care să valorifice fondul de carte al instituției. Proiectul își propune valorificarea potențialului unei clădiri cu o suprafață construită de 708 metri pătrați, aflată în gestiune proprie și care se prezintă într-o stare de degradare avansată.

Totul prin lucrări de consolidare, reabilitare, modernizare și prin dotarea spațiilor în vederea înființării unei biblioteci care să adune fondul de carte al filialelor facultăților, într-un singur spațiu, pentru a deservi cititorilor săi. Valoarea totală a investiției este de 14.524.034,78 lei, termenul de execuție fiind de 28 de luni. Corpul O, situat pe Bulevardul Carol I, nr. 24, a fost construit în anul 1924, având destinația de „Cămin de Fete” pentru studentele Universității „Alexandru Ioan Cuza”. În decursul timpului clădirea a fost extinsă si modificată pentru a satisface exigențele funcționale, fiind dezafectată de aproximativ 10 ani.

Publicație : Bună Ziua Iași

Cifre spectaculoase! Lista cu numărul total de angajați, din universități de stat din Iași, care vor participa la etapa de vaccinare anti COVID-19

Ministerul Educației și Cercetării a făcut un centralizator cu numărul total de angajați (la data de 15 ianuarie 2021) din universitățile de stat din Iași care și-au declarat disponibilitatea de vaccinare anti COVID-19. Astfel, cei mai mulți sunt de la Universitatea Tehnică „Gheorghe Asachi” din Iași (64.90 la sută), la Universitatea de Agronomie (62.38 la sută) și la „Alexandru Ioan Cuza” (61.91 la sută). La polul opus, la Universitatea de Medicină și Farmacie sunt doar 30.97 la sută. De precizat că, aici, din totalul celor 910 angajați ca personal didactic titular, peste 750 sunt medici care își derulează activitatea și ca medici în spitale. Astfel, aceștia se vaccinează în cadrul campaniei derulate în unitățile medicale

La nivelul celor 5 universități de stat din Iași, Ministerul Educației și Cercetării (MEC) a făcut un centralizator cu numărul total de angajați (la data de 15 ianuarie 2021) care și-au arătat disponibilitatea de vaccinare anti COVID-19. Cei mai mulți sunt de la Universitatea Tehnică (TUIAȘI) „Gheorghe Asachi” din Iași (64.90 la sută), la Universitatea de Științe Agricole și Medicină Veterinară (USAMV) „Ion Ionescu de la Brad” (62.38 la sută) și la „Alexandru Ioan Cuza” (UAIC) (61.91 la sută). Din totalul de 335 de angajați ai Universității Naționale de Arte (UNAGE) „George Enescu” din Iași, 167 și-au arătat disponibilitatea de vaccinare, ceea ce reprezintă 49.85 la sută.

La Universitatea de Medicină și Farmacie (UMF) „Grigore T. Popa” sunt doar 30.97 la sută angajați care sunt disponibili să se vaccineze

La polul opus, la Universitatea de Medicină și Farmacie (UMF) „Grigore T. Popa” sunt doar 30.97 la sută. De precizat că, aici, din totalul celor 910 angajați ca personal didactic titular, peste 750 sunt medici care își derulează activitatea și ca medici în spitale. Astfel, aceștia se vaccinează în cadrul campaniei derulate în unitățile medicale.

„La UMF Iași trebuie să spunem că peste 750 dintre cadrele didactice lucrează și în spitale. Așadar, ele se vaccinează în etapa derulată pe zona unităților spitalicești. Acolo figurează că și-au făcut vaccinul. De precizat că, la Universitatea de Medicină a fost creată o Platformă unde întreaga comunitate academică (de la profesori, nedidactic sau auxilar și până la studenți) se pot înscrie și spune dacă vor să se vaccineze. Deja sunt peste 4.000 de înregistrări”, au menționat oficialii UMF Iași.

Datele complete, din universitățile ieșene, cu angajații care-și doresc să se vaccineze anti COVID-19

Datele complete, din universitățile ieșene, cu angajații care-și doresc să se vaccineze anti COVID-19 arată că: la UAIC, din 735 personal didactic titular, 519 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 70.61 la sută. Apoi, din 195 personal didactic asociat, toți și-au arătat disponibilitatea la vaccinare. Din 631 personal didactic auxiliar, 353 au disponibilitate de vaccinare, anume 55.94 la sută. Din 542 personal nedidactic, 235 au disponibilitate de vaccinare, anume 43.36 la sută. Astfel, din total angajați la Universitatea „Cuza” (2.103), 1.302 sunt dispuși să se vaccineze, ceea ce reprezintă 61.91 la sută. La Universitatea Tehnică, din 631 personal didactic titular, 489 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare ce înseamnă 77.50 la sută.

Din 163 personal didactic asociat, 119 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 73.01 la sută. Din 352 personal didactic auxiliar, 230 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 65.34 la sută, din 378 personal nedidactic, 151 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 39.95 la sută. Din total angajați la TUIAȘI (1.524), și-au anunțat disponibilitatea de vaccinare 989, ceea ce reprezintă 64.90 la sută.

Care este situația la Agronomie, Medicină și Arte

La Universitatea de Agronomie, din 189 personal didactic titular, 132 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 69.84 la sută, din 23 personal didactic asociat, 13 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 56.52 la sută. Din 151 personal didactic auxiliar, 103 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 68.21 la sută. Din 174 personal nedidactic, 87 și-au arătat disponibilitatea de vaccinare, ceea ce înseamnă 50.00 la sută. Astfel, din total angajați la USAMV Iași, respectiv 537, 335 și-au arătat disponibilitatea de vaccinare, ceea ce înseamnă 62.38 la sută. La Universitatea de Medicină și Farmacie, din 910 personal didactic titular, 189 și-au arătat disponibilitatea la vaccinare, ceea ce înseamnă 20.77 la sută, din 137 personal didactic asociat, nu au fost candidați care să-și arate disponibilitatea de vaccinare, 242 personal didactic auxiliar, 164 și-au arătat disponibilitatea, ceea ce înseamnă 67.77 la sută.

Din 164 personal nedidactic, 97 și-au arătat disponibilitatea de vaccinare, ceea ce înseamnă 59.15 la sută. Din totalul angajaților de la UMF Iași (1.453), și-au arătat disponibilitatea 450, ceea de reprezintă doar 30.97 la sută. La „Arte”, din 185 personal didactic titular, 95 și-au arătat disponibilitatea, anume 51.35 la sută. Din 55 personal didactic asociat, 16 vor să se vaccineze, respectiv 29.09 la sută, din 63 personal didactic auxiliar, 38 vor să se vaccineze, anume 60.32 la sută, din 32 personal nedidactic, 18 vor vaccinare, anume 56.25 la sută. Din total de 335 angajați ai UNAGE Iași, 167 și-au arătat disponibilitatea de vaccinare, ceea ce reprezintă 49.85 la sută.

Ministerul Educației face precizarea că raportarea din care au rezultat procentele de disponibilitate s-a făcut incluzând și persoanele care nu s-au pronunțat în niciun fel asupra disponibilității de vaccinare

Ministerul Educației și Cercetării vine cu precizarea că raportarea din care au rezultat procentele de disponibilitate s-a făcut incluzând și persoanele care nu s-au pronunțat în niciun fel asupra disponibilității de vaccinare (răspunsuri asimilate neconcludent răspunsurilor negative). Având în vedere suprapunerea între perioada de vacanță și perioada de interogare, suprapunere care a generat un număr important de persoane care nu s-au exprimat nici afirmativ, nici negativ cu privire la disponibilitatea de vaccinare, Ministerul Educației decide inițierea celei de-a doua etape de declarare a disponibilității de vaccinare, în perioada 16 ianuarie – 1 februarie 2021.

„Până în momentul de față, la nivelul învățământului preuniversitar, 45.06 la sută dintre angajați au declarat disponibilitatea de vaccinare raportat la totalul de 292.872 de angajați din sistemul de învățământ preuniversitar (inclusiv persoanele care nu au răspuns). În sistemul de învățământ universitar, procentul privind disponibilitatea de vaccinare este de 59.64 la sută (raportat la totalul de 51.094 de titulari angajați în sistemul de învățământ universitar plus 9.295 de cadre didactice asociate – inclusiv persoanele care nu au răspuns)”, a transmis MEC.

 Publicație : Bună Ziua Iași

 Azi se deschid la Universitatea Al. I. Cuza cursurile de limbi străine contra cost

 Centrul de Limbi Străine şi Formare Continuă al Universităţii „Al.I. Cuza” anunţă deschiderea înscrierilor, începând de astăzi, la o nouă sesiune a cursurilor de limbi străine. Astfel, doritorii pot participa la lecţii de Franceză, Italiană, Spaniolă, Rusă, Engleză sau Germană, toate cursurile fiind contra cost. 

Cei interesaţi se pot înscrie la biroul din cadrul Librăriei „Orest Tafrali” din Corpul A al Universităţii, de luni până vineri, în intervalul orar 10-16, sau online, trimiţând o solicitare pe adresa de email office@conventus.ro. În ceea ce priveşte tarifele, acestea au rămas aceleaşi. Mai exact, pentru cursurile de Franceză, Italiană, Spaniolă sau Rusă, cu 30 de ore pe nivel, se percepe o taxă de 370 de lei pentru liceeni, studenţi, masteranzi, doctoranzi sau angajaţi UAIC, şi 620 de lei pentru salariaţi.

Pentru cursurile de engleză, cu 50 de ore per nivel, se percepe o taxă de 590 lei pentru liceeni, studenţi, masteranzi, doctoranzi sau angajaţi UAIC şi 990 de lei pentru salariaţi. Cursul de Germană presupune 76 de ore per nivel, liceenii, studenţii, masteranzii, doctoranzii şi angajaţi UAIC urmând să plătească pentru acestea 930 de lei, iar alţi salariaţi, 1.550 lei. Tarifele sunt calculate pentru o grupă de minimum 12 cursanţi. Se vor face câte două şedinţe a câte 2 ore pe săptămână, în intervalul orar 16-18 sau 18-20.

Publicație : Ziarul de Iași

 ‘Digital poverty’ could lead to lost generation of university students, vice-chancellors say

 Higher education bodies tell Gavin Williamson little has been done to help disadvantaged students access remote learning

Tens of thousands of university students in England need urgent help to stop “digital poverty” from hindering their studies during lockdown, according to a group of vice-chancellors and higher education bodies.

While the government has provided laptops and other devices to disadvantaged school pupils and college students in England, the group says university students have been ignored, with little or nothing done to help them access remote learning while campuses are off-limits.

The group including Jisc – previously known as the Joint Information Systems Committee, which maintains UK higher education’s digital networks – has written to the education secretary, Gavin Williamson, to warn of a “lost generation” of students, especially those from disadvantaged families.

The letter, backed by most vice-chancellors and principals, says it is critical for the country’s 1.8 million university students to have equal access to learning while so many are locked out of lecture theatres and libraries. Several institutions, including the London School of Economics, have told students that teaching will be online only, for the rest of the academic year.

“Many parents of students who are above the poverty line are now borderline due to the pandemic and, while they can support their children to remain in education, they cannot afford the additional cost of subsidising their child’s connectivity – especially for those also paying the bill for broadband in unused student housing,” states the letter backed by leadership groups Guild HE, Universities UK and UCISA.

The appeal comes as the government in Wales announced a further £40m in support for students, including funding to address digital poverty, according to the education minister, Kirsty Williams.

“Our universities have worked tremendously hard to support their students, ensuring learning has continued, while putting measures in place to protect their students, staff and their local communities,” Williams said. “This funding will allow them to build on that good work.”

In England, the government has only given an extra £20m to support students in difficulties since the start of the academic year. Any other support is expected to come out of existing funds.

Andrew Proctor, a pro vice-chancellor for digital policy at Staffordshire University, said institutions such as his were having to loan out hundreds of computers and licences for essential software to students so they could keep up with their studies.

He said: “We know that students at Staffordshire University are disproportionally affected by digital poverty. About 47% of our student body come from disadvantaged backgrounds and more than 50% are mature learners.

“Many students don’t have access to study spaces at home: they might be single parents or carers and so the pressures they face are very high.

“Some parents have had no choice but to share their laptop across the family while home schooling and nobody – young nor older – should face such barriers in pursuing their education. A parent’s commitment to their child’s education should not be at the cost of their own.

“Universities cannot alone end digital poverty and more must be done to ensure that during these difficult times people are not left behind because of an increasing digital divide.”

The letter calls for an urgent meeting between universities, the government and telecommunication companies, to avoid creating “an even deeper and more long-term digital divide” in education.

It tells Williamson: “We urge you to take action now on behalf of all higher education students experiencing digital poverty, or risk creating a lost generation of young people who are missing out on their education.”

Publicație : The Guardian

Benoît Coquard, sociologue : « Dans certains milieux ruraux, la culture anti-études reste très forte »

Les études supérieures ne sont pas considérées comme la seule voie à suivre pour « réussir sa vie », analyse Benoît Coquard, chercheur en sociologie. Il démontre qu’il existe dans ces territoires d’autres logiques de valorisation sociale.

Les jeunes des territoires ruraux en déclin, tel est l’objet d’études de Benoit Coquard, sociologue à l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et auteur de l’ouvrage Ceux qui restent (La Découverte, 2019). Au cours de longues enquêtes dans le Nord et l’Est de la France, il analysé les aspirations d’une certaine jeunesse, pour qui reconnaissance sociale et valorisation de soi passent par d’autres voies que les études supérieures. Et pour qui faire des études, c’est avant tout quitter sa ville ou son village, opter pour un choix à l’issue incertaine, souvent non approuvé par l’entourage, et par ailleurs en inadéquation avec les besoins du marché de l’emploi local. Comme le montre Benoît Coquard, « ceux qui restent » valorisent avant tout la solidarité territoriale et amicale face aux difficultés. Et cette vision semble se renforcer avec la crise actuelle.

Qu’est-ce qui vous a conduit à vous intéresser aux orientations scolaires des jeunes, et notamment aux différences entre femmes et hommes, dans les campagnes en déclin ?

Les campagnes en déclin, ce sont ces territoires où les jeunes qui partent faire des études ne sont pas revenus. Au départ, je m’étais intéressé au département dont je suis originaire, la Haute-Marne, qui a vu sa population baisser de 20 % depuis les années 1970. Fortement marqués par la désindustrialisation, les milieux ruraux du nord et de l’est de la France sont principalement composés d’enfants d’ouvriers et d’employés. L’emploi local repose beaucoup sur des métiers manuels peu qualifiés, plutôt considérés comme « masculins », et le chômage est encore plus élevé chez les jeunes femmes. Les choix scolaires et de carrière se révèlent donc intrinsèquement liés à la question du genre.

Autrefois très pourvoyeuse d’emplois féminins, l’industrie textile a été presque entièrement démantelée. Dans un contexte de massification de l’accès à l’enseignement supérieur, et alors que les filles obtiennent de meilleurs résultats scolaires que leurs homologues masculins, celles-ci vont miser sur des études plus longues pour accéder à un emploi stable. Première génération à aller à la fac, ces jeunes femmes font souvent des « parcours à l’aveugle ». Une fois diplômées, elles ne trouvent pas de métiers correspondant à leur qualification dans leur commune d’origine. Lors de mon enquête, certaines m’ont dit : « Je ne vais pas faire caissière avec un bac + 5. » Donc elles ne reviennent pas, et c’est ce qui fait que la population décline dans ces zones rurales.

Publicație : Le Monde